Je connais une fleur quelque part dans mon rêve.
Elle est et Elle n’est plus, dans ma tête sans trêve
Attachée comme une liane. Mais je ne peux
Sur sa joue, déposer un baiser. Malheureux !
Alors je la serre très fort dans ma mémoire.
Et mon cœur se souvient
Et mon œil n’est qu’un pleur.
Ce n’est rien, ce n’est rien !
Ce n’était qu’une fleur.