Dans l’immense brasier de mes rêves
Je brûle les pages jaunies de mon existence.
Nulle fumée ne s’élève de ma mémoire
Où se referme la porte de mon Passé.
Les jours traînent au Présent quotidien
Les regrets des heures perdues
Et les projets inachevés.
Tout meurt et rien ne renaît.