Tel un corail pourpre qui enserre son corps.
Le sang sourd, ruisselle et lentement s’écoule
Sur le cadavre nu, sève de vie dans la mort,
Liquide nourricier s’évadant du moule.
L’agonie prompte l’a laissé dans son rêve
Ses paupières sont closes et sa tête penchée
Laisse voir l’horrible en une vision brève ;
Sa poitrine est trouée et sa gorge tranchée